GTWalsheimPro, Helvetica, Arial, sans-serif

villedupre.fr

Le Pré-Saint-Gervais

La P'tite criée

La P'tite Criée

Le Pré Saint-Gervais

Confinement Covid-19

Toute l'année

Culture

Pôle culturel

banniere-Reparons-les-vivantes.png

Logo de Le Pré Saint-Gervais

Image de couverture de Le Pré Saint-Gervais

Seine-Saint-Denis

Découpage administratif

Ile-de-France

Logo de Est Ensemble

Est Ensemble

Réparer les vivantes

Loisir

Exposition

À l’initiative du projet, la photographe Élodie Ratsimbazafy et la documentariste sonore Karine Le Loët, ainsi que deux chiffres, terribles : 230 millions de femmes excisées dans le monde, dont 125 000 en France (chiffre 2019).&nbsp;Pour rendre visible cette atroce réalité, les deux artistes se sont immergées au sein de l'unité de prise en charge des femmes victimes de mutilations sexuelles, créées en 2017 par la chirurgienne obstétricienne Sarah Abramowicz, à l'hôpital intercommunal André Grégoire de Montreuil.&nbsp;L’unité propose aux femmes victimes de mutilations sexuelles (MSF) un accompagnement multidisciplinaire, à la fois médical, psychologique, social et chirurgical, avec une équipe intégralement féminine. Les artistes ont pu assister à des consultations et des groupes de parole et ont interviewé les patientes. Leur exposition présente les visages, les silhouettes, les voix de celles qui suivent ce parcours de réparation. Entre sororité et moments d’espoir lorsque ces femmes se réapproprient leur corps et leur sexualité, une exposition forte et nécessaire, pour sortir d’un patriarcat endémique.&nbsp;Lors du vernissage, le film ExCisTer de Mathilde Jauvin a été diffusé. Ce documentaire suit 13 jeunes femmes qui questionnent leur excision, leur rapport au corps, à la sexualité et aux mythes traditionnels. Cette projection s'est poursuivi par un temps d’échange en présence d’une professionnelle de l’unité de prise en charge des femmes victimes de MSF de l’hôpital André Grégoire.En partenariat avec Réparons l’Excision et l’hôpital André Grégoire à Montreuil

Accueil

En ce moment

Agenda

À l’initiative du projet, la photographe Élodie Ratsimbazafy et la documentariste sonore Karine Le Loët, ainsi que deux chiffres, terribles : 230 millions de femmes excisées dans le monde, dont 125 000 en France (chiffre 2019).  Pour rendre visible cette atroce réalité, les deux artistes se sont immergées au sein de l'unité de prise en charge des femmes victimes de mutilations sexuelles, créées en 2017 par la chirurgienne obstétricienne Sarah Abramowicz, à l'hôpital intercommunal André Grégoire de Montreuil.  L’unité propose aux femmes victimes de mutilations sexuelles (MSF) un accompagnement multidisciplinaire, à la fois médical, psychologique, social et chirurgical, avec une équipe intégralement féminine. Les artistes ont pu assister à des consultations et des groupes de parole et ont interviewé les patientes. Leur exposition présente les visages, les silhouettes, les voix de celles qui suivent ce parcours de réparation. Entre sororité et moments d’espoir lorsque ces femmes se réapproprient leur corps et leur sexualité, une exposition forte et nécessaire, pour sortir d’un patriarcat endémique.  Lors du vernissage, le film ExCisTer de Mathilde Jauvin a été diffusé. Ce documentaire suit 13 jeunes femmes qui questionnent leur excision, leur rapport au corps, à la sexualité et aux mythes traditionnels. Cette projection s'est poursuivi par un temps d’échange en présence d’une professionnelle de l’unité de prise en charge des femmes victimes de MSF de l’hôpital André Grégoire. En partenariat avec Réparons l’Excision et l’hôpital André Grégoire à Montreuil

Réparer les vivantes

À voir également